vendredi 29 janvier 2016

Ajouts PAL décembre 2015


Offert par un ami
The Ramayana (Journey of Rama) is possibly the world's oldest literature. Cherished throughout India and much of Asia for centuries, it has been faithfully preserved and passed on through poems, folk tales, music, dance, drama, sculpture, painting, even film and graphic novels. This story and its characters have captured the hearts and minds of countless generations. Revered through the ages for its moral and spiritual wisdom, it is an uplifting tale of romance and high adventure, recounting the odyssey of Rama, a great King of ancient India.






Dans ma période The Walking Dead... Faut bien faire passer l'attente jusqu'au 14 février !! :p
À la suite d’une catastrophe mondiale les pays les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment. À la recherche d’un remède au virus, un groupe d’adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York. Tous se croient préparés au pire. Mais dans l’île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt découvrir que la non-mort est loin d’être le destin le plus terrifiant…





J'ai eu la chance de partir en Suisse début janvier, et j'ai trouvé ce livre d'occasion dans une petite librairie/papeterie dans le petit village où nous nous trouvions.
Just across the River Thames from St Paul’s Cathedral stands an old and elegant house. Over the course of almost 450 years the dwelling on this site has witnessed many changes. From its windows, people have watched the ferrymen carry Londoners to and from Shakespeare’s Globe; they have gazed on the Great Fire; they have seen the countrified lanes of London’s marshy south bank give way to a network of wharves, workshops and tenements – and then seen these, too, become dust and empty air. Rich with anecdote and colour, this fascinating book breathes life into the forgotten inhabitants of the house – the prosperous traders; an early film star; even some of London’s numberless poor. In so doing it makes them stand for legions of others and for a whole world that we have lost through hundreds of years of London’s history.



Je vais voir la pièce avec Francis Huster au mois de mars, il est donc impératif de livre le livre avant ! 
Czentowicz, champion d'échecs arrogant, esprit borné à outrance, inculte et étonnamment stupide, occupe le premier plan jusqu'à l'entrée en scène de Monsieur B. Dès lors que cet aristocrate autrichien s'intéresse à la partie livrée entre le champion et les passagers amateurs, la direction du texte bascule. Par un effet de symétrie, la narration se transforme en un face à face tendu entre un esprit brillant et rapide à l'intelligence abstraite et un cerveau au pragmatisme brutal, incapable de projection véritable. Mise en scène percutante de la résurrection de la folie, cette nouvelle oscille entre ouverture et enfermement. Dans cette avancée implacable de la stupidité destructrice, allégorie de la victoire du nazisme mais aussi chef-d'oeuvre de composition, Zweig s'intéresse peu à la survie du corps, préférant montrer les réactions de l'esprit, qui trouve un symbole parfait dans ce jeu éminemment intelligent mais désespérément stérile. Publié en 1943, un an après le suicide de son auteur, Le Joueur d'échecs fait figure de testament dans l'oeuvre de Zweig.





Lors d'une promenade au jardin des Tuileries, Henri de Marsay, jeune dandy parisien, croise le regard de Paquita Valdès, une bohémienne à la beauté envoûtante. Il tombe sous le charme de la jeune femme, farouchement gardée par un mystérieux tyran, et décide de l'enlever... Dans ce court roman, Balzac peint un amour où se mêlent cruauté et volupté. Il fait une autopsie féroce des rapports sociaux et amoureux. Un récit captivant et sulfureux.  






Ils étaient cinq. Cinq soldats français condamnés à mort par le conseil de guerre pour s'être automutilés. Cinq soldats qu'on a jetés dans la neige de Picardie, un soir de janvier 1917, devant la tranchée ennemie, pour qu'on les tue. Toute une nuit et tout un jour, ils ont tenté désespérément de survivre. Le plus jeune était un Bleuet, il s'appelait Manech. Il n'avait pas vingt ans. Après la guerre, Mathilde, qui aime Manech d'un amour à l'épreuve de tout, va se battre pour le retrouver, mort ou vivant. Elle y sacrifiera ses jours, et malgré le temps qui passe, malgré les mensonges et la loi du silence, elle ira jusqu'au bout de l'espoir insensé qui la porte.



Enseveli sous un monceau de cadavres, le colonel Chabert meurt une première fois à la bataille d'Eylau. Déterré vivant, il n'est plus, dix ans plus tard, qu'un fantôme, un survivant de l'épopée napoléonienne. Humilié, chassé : la société, la France de la Restauration, personne ne veut plus de lui ; sa femme elle-même, remariée à un aristocrate, refuse de reconnaître ce vaincu. Comment obtenir qu'on lui rende son épouse, sa dignité, son rang ? Telle est la tragédie de Chabert, face à la trahison et à l'infamie. Ce drame d'un homme tiraillé entre sa force d'âme et sa faiblesse de coeur est de tous les temps. Si le colonel Chabert avait été tué à Eylau, il serait devenu un héros parmi d'autres. Ressuscité et misérable, tel que le génie de Balzac le montre, il entre dans l'immortalité.

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